En Spaggiari plus vrai que nature, Jean-Paul Rouve évite l’écueil de la performance d'acteur et raconte devant et derrière la caméra une histoire hallucinante.

Le conflit nicaraguayen qui a déchiré le pays au milieu des années quatre-vingt est au cœur de ce film , un peu particulier dans la carrière du cinéaste britannique . Mais tout aussi formidable .

A l'heure où la France licencie à tout va ,un plaidoyer qui ne manque pas de panache.

Nous sommes en Chine , deuxième siècle avant Jésus-Christ, les seigneurs n’arrêtent pas de se faire la guerre, et la prétendante au trône est bien évidemment jalousée par son cousin qui veut la trucider.

Habituellement , il fait dans le sophistiqué. Mais cette fois la foi et la musique l'emportent joliment ...

A cette époque , il était partout : réalisateur sur la croisette ( flop, flop ) , producteur pour " Hell Ride ", et dans " Sin City" il fait l'acteur. C'est fini ? Non pas tout à fait ....

Chantage, harcèlement, meurtre … tout est bon ici bas pour arriver à ses fins . Et pour faire un excellent film

La vie d'un musicien de jazz hors pair, par un réalisateur qui connaît la musique