C’est l’histoire, vieille comme le monde et le cinéma, du mensonge et de la culpabilité. L’homme, responsable d’un accident mortel prend la fuite, il devient coupable. Comment assumer une telle situation quand l’intéressé n’hésite pas à la reprendre à son compte en évacuant d’emblée toute faute ? On a déjà …

« Couvre-feu », un film qui porte bien son titre. Une fois instauré, on ne sort plus…

Une phrase devenue célèbre, pour sa faute et les raisons de son inscription . Un fait divers qui n'est toujours pas terminé et un rappel des faits à travers un film convaincu .

Le réalisateur de « Pigalle la nuit » n'a pas retrouvé la verve de sa précédente série . C'est surtout côté scénario que ce thriller au soleil, noir et sensuel, a montré ses faiblesses..

"Il était une fois l'Algérie et la France" . Rachid Boucharef parle ainsi de ce film, le second d'une trilogie , dit-il entamée avec " Indigènes" . L'intérêt va croissant ...

Une merveille de (télé) film qui renoue avec le polar, les films d’ambiance et ce Paris que l’on découvre chaque jour , ou chaque nuit un peu plus.

Quand la raison et le cœur ne font pas bon ménage, le cinéma patauge