Dans l'histoire des Oscars, c'est la troisième fois seulement qu'un film d'animation, est cité dans la catégorie les meilleurs films , après " La belle et la bête" et "La-haut" ... Et il remporte la palme haut la main.

L'ombre du père , pèse à jamais sur le destin de ses deux enfants. Le premier a renié son histoire , le second tente de la comprendre. Quand ils se retrouvent , le passé qui ressurgit est cruel . Du très grand Coppola .

Alors que les Stones ont débarqué cette semaine en DVD, l’histoire des Doors revit sur grand écran à travers des documents d’époque , dont un film d’un certain Jim Morrison.

Depuis deux ans , ce film rafle à travers le monde de nombreux prix, dont bien souvent celui du public, touché par cette histoire d’un jeune bulgare amnésique à la recherche de son passé.

Tout le monde le croyait mort, alors son retour au pays pose quelques problèmes.Le remake du film danois prend bien évidemment l’Amérique comme décor, et la guerre en Afghanistan. Il lui reste fidèle.

Le cinéma coréen a trouvé avec Bong Joon-ho et "Mother" une nouvelle voie, où les personnages marchent souvent à côté de leurs baskets, mais à un tel rythme et un tel plaisir,qu'on emboîte le pas sans discuter.

Quand le corps de Vincent est retrouvé dans le Rhône, sans vie ,salement amoché, les policiers (Gilbert Melki , Emmanuelle Devos ) entament une enquête traditionnelle. Mais la façon dont ce premier film la rapporte l'est beaucoup moins. Un premier film, donc...

Une histoire entre Los Angeles et une femme dans les années 50. Elle fuit un divorce, la caméra suit son vagabondage. Le portrait d'une ville et d'un pays.