Synopsis: New York 1941. Fink, jeune dramaturge, rencontre le succès grâce à un roman populaire. Hollywood le charge d'écrire des scénarios sur le monde des lutteurs. Fink va découvrir les mystères d'Hollywood, l'angoisse de la page blanche et un étrange voisin qui lui révélera quelques secrets sur l'art de l'existence...
La fiche du Disque

- Cannes 1990 : Palme d’Or, Prix du meilleur réalisateur et d’interprétation masculine (John Turturro).
New York, 1941. Auteur engagé ayant rencontré le succès à Broadway, Barton Fink (John Turturro) attire désormais l’attention d’Hollywood. Sollicité pour écrire un scénario sur le catch, il quitte la grisaille new-yorkaise pour les fastes du cinéma.
L.A. s’entiche de Barton Fink qui découvre l’angoisse de la page blanche. Avec l’aide de son assistante Audrey (Judy Davis) et de son aimable voisin Charlie Meadows (John Goodman), il trouve l’inspiration qu’il recherche dans un registre des plus sinistres.
Unanimement salué par la critique, Barton Fink est un film des célèbres frères Coen à qui l’on doit notamment « Sang pour Sang » (Blood Simple) et « Millers Crossing. » Une comédie captivante et originale sur la fantasmagorie d’Hollywood, les monstres du cinéma et… les cadavres décapités.
Bonus :
– Scènes Coupées
Cannes sous le charme :
C’est le premier film de l’histoire a remporter les trois distinctions majeures du Festival. A partir de cette année 1991 Gilles Jacob, alors responsable de la manifestation (il a depuis pris sa retraite) interdit la multiplication des prix pour un même film.
D’après une histoire vraie
Le dramaturge américain Clifford Odets a inspiré ce film. L’homme, originaire de Philadelphie connut son heure de gloire dans les années quarante et 50. A vingt-neuf ans, il signe sa première pièce, Waiting for Lefty, que beaucoup considèrent comme son chef-d’œuvre. Engagé par Hollywood, il écrit notamment le scénario du Grand Chantage, qui met en vedette Burt Lancaster et Tony Curtis. Clifford Odets décède en 1963 d’un cancer.
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