Gérard Depardieu-Pierre Richard. Les films qui immortalisent les retrouvailles des deux compères.
lire »« Brooklyn affairs » de et avec Edward Norton. Critique cinéma
D’après le roman de Jonathan Lethem « Les orphelins de Brooklyn » . —- C’est déjà un bon vieux classique du polar à l’américaine. Devant et derrière la caméra, Edward Norton prend pied dans cet univers de moitié de siècle, époque à laquelle les Etats-Unis n’en finissent pas de construire des villes. …
lire »« The Irish man » de Martin Scorsese. Critique » cinéma «
Ce film qui dure plus de trois heures, aurait nécessité un tel investissement que même les nababs hollywoodiens n’en voulaient pas. Je les comprends. Ce film est un four monumental, au regard de son réalisateur et de ses acteurs . Tous blanchis sous le harnais ( du corps, de l’expérience …
lire »« L’idiot » de Georges Lampin. Critique dvd
Qui de l’idiot ou du voleur gagnera le cœur de la belle Anastasia ?
lire »« J’ai perdu mon corps » de Jérémy Clapin. Critique cinéma
Grand Prix de la Semaine de la critique de Cannes 2019. — D’après « Happy hand » de Guillaume Laurant. — La main qui s’agrippe ou celle que l’on perd. Perdre la main, et passer son tour. La main qui pianote sur le clavier dont rêve le jeune héros. Etre à la fois …
lire »« Les Garçons » de Mauro Bolognini. Critique DVD. Coffret
4 films réalisés par un orfèvre du cinéma italien, Mauro Bolognini : la chronique sociale « Les Garçons », le drame au féminin « Bubu de Montparnasse », la farce tragi-grotesque « Liberté, mon amour ! » et l’étude crue de la folie « Vertiges« . Ce coffret fait partie de la sélection « Noël en fête » Dvd : 6 novembre 2019 Acteurs : Rosanna Schiaffino, Elsa …
lire »« Autopsie d’un meurtre » de Otto Preminger. Critique Blu-ray. Coffret
Ce film n'en finit pas d'être bon, très bon . Il en devient excellent
lire »« Quand passent les cigognes » de Mikhail Kalatozov. Critique cinéma
1958 Palme d’or au festival de Cannes. – D’après l’oeuvre éponyme de Viktor Rozov . – Cette œuvre rapportée quelques années après la mort de Staline, alors que le septième art soviétique est au plus mal, apparait comme une sublime pièce de musée. Elle nous parle de la bataille annoncée aux …
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