«Quand j'ai vu le film à Cannes, j'étais encore plus stressé que lors d'une première théâtrale, à l'affût des réactions des 3000 spectateurs qu'il y avait dans la salle. Le montage du film est super bien fait, tout converge vers cette dernière scène entre Fanny Ardant et Daniel Auteuil. Ce qui m'avait plus tout de suite quand on m'a proposé le rôle, c'était la virtuosité du scénario, déjà sur le papier c'était à mourir de rire, très intelligent. Nicolas a su réaliser le film qu'il avait rêvé».

la belle époque

Voir aussi

« Vermiglio ou La Mariée des Montagnes » de Maura Delpero. Critique cinéma-dvd

Complaisante avec elle même, la réalisatrice ne retrouve pas la verve de son premier film

Laisser un commentaire