C’est une coquille vide. C’est joliment filmé, entre l’urbanisation citadine anonyme et des comédiens de bonne facture. Mais ça sonne creux. Comme Jean-Pierre Bacri, son personnage plus exactement, dépressif bêta qui ne fait rien pour emballer la machine. Son road movie bancal lui donne des allures de Don Quichotte de …
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De la cinémathèque à l’édition d’un coffret, au cinéma aussi, c’est la fête du réalisateur japonais
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Robert Frank et Rudy Wurlitzer s’acoquinaient il y a 26 ans pour donner une vision hybride de la musique américaine…
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Un premier film vraiment réussi, et la révélation d’un comédie Philippe Rebbot
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Un réalisateur qui adapte son propre roman, c’est de plus en plus courant. Mais la réussite est inégale
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Le road movie est assez paisible, mais sa conclusion d'une violence à ne pas mettre forcément devant tous les yeux ...Un film étonnant qui cache bien son jeu .
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Depuis sa sortie en 1957, on dit que le roman de Kerouac « On the road » est inadaptable au cinéma. Salles confirme, au profit d’un sépia des années soixante.
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Le premier film du comédien reprend le thème de la quête identitaire en marchant sur les pas d'une mère qui vient de disparaître. Clin d’œil ou hommage au cinéma français , je ne sais pas. C'est un film qui m'échappe...
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