Indépendant et libre,le vibrant portrait d'un artiste, qui avant d'être cinéaste était un homme, tout simplement... Ou presque

Quatre dvd pour faire vivre l'histoire tout aussi apocalyptique de ce film qui en 1979 dénonçait la guerre du Vietnam à travers l'épopée d'un colonel déserteur , pris de folie . Il n'était pas le seul .

À l’occasion du trentième anniversaire de la disparition de l’acteur, la Fnac propose, en série limitée, un collector préfacé par Jean Reno, suivi de quatre films dont " La grande évasion".

Un chanteur de country sur la déchéance retrouve le goût de vivre auprès d’une maman et de son bambin . Pas nunuche pour un sou, cette histoire est racontée de merveilleuse façon par un apprenti cinéaste qui dans le rôle titre fait de Jeff Bridges un formidable personnage.

J’attendais beaucoup de la suite de «Lonesome Dove», mais le filon hélas ne donne plus de pépites.

On lui doit « La Grande évasion », « Les Sept mercenaires » et puis cette histoire étrange d’un commando allemand chargé en 1943 de kidnapper Churchill. Il y a un peu de vérité, et pas mal de fiction dans la réalisation du cinéaste, qui sait mener une action tambour …

Le fameux « Dahlia noir » inspire la littérature et le cinéma. Ulu Grosbard le joue gagnant !

Ritchie l’anglais fait du gros cinéma américain et se détache intelligemment du film original " Le Convoyeur" de Nicolas Boukhrief