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« Un monstre à Paris » d’Eric Bergeron. Critique Cinéma

Synopsis: Dans le Paris inondé de 1910, un monstre sème la panique. Traqué sans relâche par le redoutable préfet Maynott, il demeure introuvable... Et si la meilleure cachette était sous les feux de "L'Oiseau Rare", un cabaret où chante Lucille ?

La fiche du film

Le film : "Un monstre à Paris"
De : Eric Bergeron
Avec : Vanessa Paradis, Mathieu Chédid
Sortie le : 12/10/2011
Durée : 82 Minutes
Genre : Animation, Aventure, Comédie
Type : Long-métrage
Le film

 « L’illusionniste » affichait clairement ses ambitions, mais celui-ci me paraît peu convaincant. A qui s’adresse-t-il ? Les enfants à partir de six-huit ans peuvent raisonnablement y trouver leur compte jusqu’à une période pré-ado qu’il ne faut pas trop franchir.

Pour les dialogues, ça devrait leur convenir.

Après c’est le vide abyssal dans lequel chacun puisera quelques références autour d’un tempo, façon Chédid ou d’une chansonnette à la Paradis. La partition est aguichante et «  La Seine » va suivre son cours à la radio. Mais pas ces deux vedettes qui  prêtent leur voix à ce film d’animation qui après le premier quart d’heure d’observation m’a très vite  lassé.

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L’histoire, aussi épaisse qu’une feuille de cigarette, n’a même pas le bonheur d’être originale : une mauvaise manipulation dans un labo, et une puce se transforme en monstre. Tout le monde en a peur, sauf la belle chez qui la bébête se réfugie.

Le seul personnage réellement attachant par son graphisme.Ajoutez au suspense que le méchant est le préfet de police et que son bras droit n’y voit que du feu.

Cette histoire minimaliste trouve ses limites dans la course poursuite sans fin, et sans rythme qui s’engage entre le monstre, ses amis et le préfet qui tient à se faire élire maire de la ville.

Comme le tout est gentiment mené, on se dit que la 3 D peut pallier les insuffisances. Que nenni , rien ne justifie l’emploie d’une telle technique , le relief n’accentuant guère des dessins sommaires  alors que des scènes un peu plus mouvementées ( l’inauguration du Funiculaire , par exemple ) permettaient semble-t-il de nous en envoyer plein la figure. Mais là encore, il faut patienter. Pour rien.

 « L’illusionniste » affichait clairement ses ambitions, mais celui-ci me paraît peu convaincant. A qui s’adresse-t-il ? Les enfants à partir de six-huit ans peuvent raisonnablement y trouver leur compte jusqu’à une période pré-ado qu’il ne faut pas trop franchir. Pour les dialogues, ça devrait leur convenir. Après c’est le vide abyssal dans lequel chacun puisera quelques références autour d’un tempo, façon Chédid ou d’une chansonnette à la Paradis. La partition est aguichante et «  La Seine » va suivre son cours à la radio. Mais pas ces deux vedettes qui  prêtent leur voix à ce film d’animation qui après le premier quart d’heure…

Review Overview

Le film

Je n'ai trouvé aucune originalité à ce film d'animation aux dessins primaires et à l'histoire tout aussi secondaire. La 3 D n'est pas utilisée me semble-t-il au mieux de ses possibilités. Bref, un gâchis, malgré une bande annonce très tape à l’œil et qui pallie superficiellement les faiblesses du scénario

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2 Commentaires

  1. c’est « cette page » qui est un veritable torchon!!! il ne faut vraiment pas avoir de talent, avoir de la merde dans la tete ainsi qu’une pretention demesurée et une jalousie morbide pour se permetre d’ecrire ca!!!

  2. Il n’est pas nécessaire d’insulter pour contester, moi je respecte votre point de vue , et malgré le ton employé, je ne juge en aucun cas votre caractère . Et jaloux de qui , de quoi ? Bon cinéma

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